Voici quatre pistes essentielles… En parlant vrai et pro
Le numĂ©rique, ça nâest pas magique. DĂ©matĂ©rialiser, numĂ©riser, digitaliser nâest pas sans consĂ©quence. Il faut anticiper le matĂ©riel, les rĂ©seaux, la gestion des donnĂ©es, les logiciels mĂ©tiers, les formations, les marchĂ©s, le SAV, les ressources humaines. Faire croire que la transition numĂ©rique relĂšve juste de la bonne volontĂ© est un leurre. Il faudra y mettre les moyens. Faites-en les objectifs annuels dâun service ou dâagents. LĂ©gitimez, formalisez des ambassadeurs, des pilotes. Et militez pour une anticipation des enjeux du numĂ©rique : expliquez et informez.
En faisant preuve de discernementLe numĂ©rique, ça nâest pas automatique. Câest un outil qui doit rester au service dâun service, dâun objectif autre que lui-mĂȘme. Placer du numĂ©rique Ă toutes les sauces, sans plus value Ă son usage, sera la meilleure façon en interne de fatiguer tout le monde et de tuer le potentiel avant la naissance ! Pensez pertinence (et complĂ©mentaritĂ©) des moyens et des techniques.
En (re)mettant la DSI au cĆur du circuit dĂ©cisionnel et stratĂ©giqueComme la Communication. Ce sont des acteurs clĂ© de la transition numĂ©rique. Un travail transversal entre DSI et Communication (gestionnaires de donnĂ©es), portĂ© par une volontĂ© politique et une commande formalisĂ©e de la direction gĂ©nĂ©rale, forment le socle organisationnel et lâhorizontalitĂ© qui donneront les moyens dâune culture numĂ©rique porteuse de sens, fondatrice et donc efficiente.
Enfin, en prouvantLa meilleure façon de rĂ©ussir cette acculturation est dâen dĂ©montrer lâintĂ©rĂȘt et les rĂ©sultats. Restez en veille et partagez les initiatives rĂ©ussies dans dâautres collectivitĂ©s (toujours de strate ou de contexte Ă©quivalent), chiffres Ă lâappui. Prenez le temps de lâĂ©valuation qualitative et quantitative. Prouver par A + BâŠ