Sponsoriser des posts Facebook ou des tweets, mener des campagnes sur Instagram, rĂȘver des futurs gĂ©ofiltres payants sur Snapchat⊠De nombreuses collectivitĂ©s ont franchi le pas de lâachat publicitaire sur les rĂ©seaux sociaux. Les Ă©changes du groupe et une enquĂȘte interne permettent de dresser un premier tableau des usages et des questionnements.
Une pratique se développe
La plupart des communicants digitaux ont saisi les potentiels de ces outils et lâutilisent plutĂŽt pour des campagnes ponctuelles. Pour ceux qui nâont pas de pratique, lâabsence dâaccĂšs Ă une carte bleue reprĂ©sente le principal frein. Ils envisagent nĂ©anmoins de sây adonner dans les prochains mois quitte Ă recourir Ă un tiers avec donc des frais supplĂ©mentaires de gestion. Rappelons que la carte bleue reste le sĂ©same indispensable. Quelques chanceux disposent de leur CB propre ou mutualisĂ©e avec dâautres directions. Mais tous autres peuvent dĂ©sormais en acheter des prĂ©-payĂ©es dans nâimporte quel tabac. La CB ne devrait donc plus ĂȘtre ce point de blocage, qui oblige certains Ă sâen passer ou passer par des prestataires dont les marges sont trĂšs variables !
Plus économique et plus efficace ?
Parfois les investissements publicitaires sur les réseaux sociaux entraßnent une réduction des budgets affectés aux autres médias mais cela ne semble pas
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