Technologies civiques (civic-tech) : effet de mode ou nouvelle opportunitĂ© pour le communiquant ? Avec la crise de confiance envers les Ă©lus (cf. Ă©tude CEVIPOF), quelle est la place du numĂ©rique pour renouer le lien dĂ©mocratique ? LâĂ©quipement massif des citoyens et lâengouement des start up pour ce mode de dĂ©mocratie trouve-t-il un Ă©cho chez les communicants publics ? Une enquĂȘte menĂ©e par l'Observatoire socialmedia en partenariat avec Cap'Com nous apprend que peu de territoires ont franchi le pas de lâexpĂ©rimentation, mais que la maturitĂ© est en devenir.Â
Curiosité pour le sujet mais faible niveau de pratique
Seuls 16% se sont lancĂ©s et 13% en sont au stade avancĂ© de la rĂ©flexion. Lâattente principale est dâengager les citoyens dans la vie locale pour une vraie promesse de renouvellement de la dĂ©mocratie. Lâambition est Ă©levĂ©e, quâen est-il de la rĂ©alité ? Comment les dispositifs existant sâinsĂšrent-ils dans la palette des outils traditionnels de la participation ?Un subtile dosage entre prĂ©sentiel et virtuel
Dans 9 cas sur 10 les outils numĂ©riques sont hybridĂ©s avec les dispositifs classiques de la participation citoyenne. Le virtuel ne vient pas se substituer au prĂ©sentiel, il vient pour 56% des rĂ©pondants, le complĂ©ter, lâenrichir et touchConnectez-vous pour lire la suite de l'article
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