Peut-on encore gĂ©rer des rĂ©seaux sans recourir Ă la publicitĂ© ? Plus vraiment. On le sait tous : la portĂ©e organique sur Facebook est en baisse depuis 2014. Elle Ă©quivaut en moyenne Ă 6,4% des mentions Jâaime de la page. Peu Ă peu, Mark Zuckerberg nous incite Ă mettre la main Ă la poche, ce qui nâest pas sans poser de questions existentielles que nous avions soulevĂ©es ici.
Principe de rĂ©alitĂ© oblige, on sây est mis. AprĂšs tout, il sâagit de rapprocher lâinstitution de ses administrĂ©s et de mettre Ă leur disposition lâinformation qui les concerne. Comme le rĂ©sume Brice Piveteau, directeur clientĂšle de lâagence Z and Ko spĂ©cialisĂ©e dans lâaccompagnement des collectivitĂ©s en VendĂ©e, « la publicitĂ© social media nâest peut-ĂȘtre pas indispensable en soi, mais il est indispensable de se poser la question de sa pertinence dans un plan de communication ».
1. Pour cibler
Les avantages dâune « campagne de mĂ©diatisation » sur les rĂ©seaux sociaux, comme on dit pudiquement, sont indĂ©niables. Lâatout principal est le ciblage. « Le ciblage gĂ©ographique est trĂšs intĂ©ressant pour une collectivitĂ©, car on a la possibilitĂ© de pousser des infos sur des zones trĂšs prĂ©cises. Câest un outil trĂšs puissant », a pu observer Vincent Mangue lorsquâil Ă©tait en charge des mĂ©dias sociaux Ă lâagglomĂ©ration de Cergy-Pontoise (Va
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